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Paroles de la piste « Amanite Atomique Blues » :
Dans l'univers rétro-labial,
juste à l'entrée de l'aire de jeu,
à bord de mon vaisseau spatial
j'explore ta galaxie en feu.
J'suis comme un pirate en campagne
recherchant la grotte au trésor
et ma musique me condamne au bagne
quand j'exulte au creux de ton corps
Amanite Atomique, carte postale de mes souvenirs
où mes rites sataniques hurlent au vent de tes soupirs
oh baby atomique je vis sous ton empire
bercé par les répliques des tremblements de ton désir
oh baby atomique je vis sous ton empire...
Comme un solitaire apocryphe
J'enfume ta zone de voie lactée
Mais ce jeu devient abrasif
Tu vas me faire capituler
Et à ton sexe ouvrant ses griffes
je convertis ma volupté
J'abandonne au dernier des riffs
la narration d'cette épopée
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Paroles de la piste « Bois d'ébène - Chorus » :
J'irai là-bas, en ces allées de terre
sans avoir d'autre crépuscule en vue
J'avancerai dans la brume, épaisse et lasse
porter l'écume, sous la plaine immense
deversant la rosée pulpeuse de beautée
aux nervures éclatante de verdures
oh belle au bois d'ébène, oh ma belle au bois d'ébène
n'oublie rien, rien qui avance au bois d'ébène
t'as embelli le feu, le vent qui souffle dans les espaces
immaculés de paix, qui ornent les palais
tu envoies les plaisirs aux instruments si beaux
où les souffles retournent en armes ces silences
incomplets de supplices
misterieux et brumeux
sifflants les sons noirs de la passion
tendre et précieuse essence aux ramure d'ambre
bourgeonnent les délices des mélancolies
oh mon bois d'ébène, ma forêt de charme
réveille mes larmes... au bon temps qui dérape
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Paroles de la piste « Bois d'ébène - Ad Lib » :
Je te fixerai, incomplet de supplice, de noir et de dureté, travaillant ta chair tendre de mes mains.
Précieuse essence aux ramures d'ambre, je déverserai la brume épaisse et lente où bourgeonnent les délices des mélancolies.
N'oublies pas de te pencher, toi, en haut de la cime, je suis là moi, en bas, en bas à te manger la peau, à me casser les dents, à boire ton sang noir et cracher les mots déracinés au plus profond de la terre.
Restes-tu là toi, restes-tu là.
Je mélangerai alors la sève aux gouttes de mon sang, pour devenir à mon tour les musiques
Imaginer le mystère des vents pour inspirer, respirer, inspirer, expirer.
Respire encore, respire encore, toi, le poumon du monde je sais, je ne suis plus rien sans toi, je reste là, je rêve de toi.
Je jouis dans tes bras, tu n'as rien à me donner que la dureté de ton âme que la dureté de ton art pour faire les musiques que l'on entend et qu'au moment des repos, au milieu des mots...
Suce moi le sang, mélange moi à ta sève pour que la couleur du rouge, pour que la couleur du noir, ne s'épousent pas.
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Paroles de la piste « Damné » :
Au milieu d'années
des rythmes denses
dansaient eh eh eh
où d'autres sont condamnés
assez!
hé mal
hé mal émet-moi
hé mal émet-moi
le sang,
m'ont laissé sans toi
pour, tant d'années
Au milieu des coups de fouets
les rythmes denses sont damnés
fatigués
hé mal
hé mal émet-moi
hé mal émet-moi, le sang
m'ont laissé sans toi
assez rien que le blues donne l'espoir de lutter et rêver
condamné à l'esclavage et coups de fouets... Fatigué
allez les airs de blues sont déchirés. Fatigué...
des soleils rêveurs d'années
sont pris au piège enflammé
condamnés
hé mal
hé mal émet-moi
hé mal émet-moi, le sang
m'ont laissé sans toi
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Paroles de la piste « Danser sous les Bombes » :
Les chiens sont lâchés, allez même pas peur on va danser
L'affrontement est lancé, allez même pas peur on va trinquer
Ils vont tous débarquer, allez même pas peur on va chanter
Les lacrymos dégoupillées, allez même pas peur on va baiser
En attendant le silence
On va danser sous les bombes, on va trinquer sous les bombes, allons y gaiement, le poing en avant
On va chanter sous les bombes, on va baiser sous les bombes, profiter maintenant, la mort au tournant
La chaleur est montée, allez même pas peur on va danser
La foule commence à crier, allez même pas peur on va trinquer
C'est la bataille rangée, allez même pas peur on va chanter
On va tous y passer, allez même pas peur on va baiser
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Paroles de la piste « Rivière de sable » :
Elle coule à l'envers / dans le sentiment qui traîne / déversant nos amours / ruisselant comme toujours,
Rien que les mots ne sonnent pas / sur les syllabes qui se noient / lentement là, lentement là...
Plus de rivières qui luisent / reflets d'anges de la nuit / et je sens que je perds / pieds dans l'ombre de l'air
Rien que les mots ne sonnent pas / sur les plaintes qui se noient / pendues à toi, pendues à toi.
Plus d'illusions, reflets d'horizons, reste la puissance de la sagesse des continents, sagesse des continents, grise le ciel et mon corps, ou alors...
Elle entre sur scène / comme entre la reine / férocité des anges / morsures tendres d'insolence,
Rien que les mots ne sonnent pas /sur les rivières qui se noient /pendues à toi, pendues à toi.
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Les paroles de la piste « Le chant de la contrescape » sont extraites de l'ouvrage "Le Magasin de Curiosités" de Jean-Daniel Dupuy (éd. Æncrages & Co)
La chaleur est montée, allez même pas peur on va danser
La foule commence à crier, allez même pas peur on va trinquer
C'est la bataille rangée, allez même pas peur on va chanter
On va tous y passer, allez même pas peur on va baiser
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Paroles de la piste « Rivière de sable » :
Elle coule à l'envers / dans le sentiment qui traîne / déversant nos amours / ruisselant comme toujours,
Rien que les mots ne sonnent pas / sur les syllabes qui se noient / lentement là, lentement là...
Plus de rivières qui luisent / reflets d'anges de la nuit / et je sens que je perds / pieds dans l'ombre de l'air
Rien que les mots ne sonnent pas / sur les plaintes qui se noient / pendues à toi, pendues à toi.
Plus d'illusions, reflets d'horizons, reste la puissance de la sagesse des continents, sagesse des continents, grise le ciel et mon corps, ou alors...
Elle entre sur scène / comme entre la reine / férocité des anges / morsures tendres d'insolence,
Rien que les mots ne sonnent pas /sur les rivières qui se noient /pendues à toi, pendues à toi.
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Les paroles de la piste « Le chant de la contrescape » sont extraites de l'ouvrage "Le Magasin de Curiosités" de Jean-Daniel Dupuy (éd. Æncrages & Co)
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